Je dois à deux voisins de table français d’avoir poussé en taxi jusqu’à Mycènes. La représentation que j’en avais était une porte massive et sombre, un masque mortuaire en or sans trop d’intérêt, et c’est à peu près tout.
En fait le site de Mycènes ressemble à son histoire dominatrice et conquérante. La ville, en hauteur, voit loin, jusqu’à la mer, sur presque 360 degrés, et elle est protégé par de larges et hauts murs de gros blocs ajustés. La porte des lions donne une
impression de force et de puissance. Le musée, lui, est riche en poteries, en armes, en bijoux et en objets divers.