Cela commence très mal. J’ai RV avec Ozlem à FENERYOLU, gare du ‘MARMARAY’ plus proche du mouillage que celle d’hier. Ozlem je ne l’ai jamais vue. Hier j’ai fait des heures de marche pour aller jusqu’à KADIKOY. Le train traverse le Bosphore a plus de 50m sous terre. Je ne connais pas le quartier, qui est hors de mon plan, je vais être en retard. Je prends un premier ‘Dolmus’, un genre de Taxico qui ne va pas à la station que je lui montre sur la carte, mais qui me conduit à un autre Dolmus qui… Stress. Une dizaine de personnes. A l’arrivée je n’ai plus ni téléphone ni tablette! Cauchemar; un appareil ça pourrait encore le faire; mais deux mon voyage est fini.
J’essaye de “m’appeler” avec un téléphone prêté. Rien. Je note la plaque, l’heure, et fonce à Fenergolu. On avait convenu de 9h30 mais elle m’avait appelé pour me dire qu’elle était déjà là, d’où l’accélération. 1er miracle elle est là, me reconnaît, elle m’appelle par mon prénom. Téléphone, police. Rien. Pendant ce temps-là les passagers du deuxième Dolmus s’égayent dans la nature. Je demande à Ozlem d’appeler mon numéro plusieurs fois, des fois que… Deuxième miracle on lui répond. C’est le chauffeur du premier bus.
Les deux jours suivants avec Ozlem à travers Istanbul sont deux jours de pur bonheur! Quelqu’un me veut du bien en haut lieu,