LES ILES LIPARI

Petit mouillage en bord de plage / bord de route sous le Cap Orlando, puis toutes voiles dehors dans un vent de Nord-Est faible 7 à parfois 10 noeuds (1 mille marin par heure) reçu par le travers. On marche à 4, parfois 3 noeuds…

… on marche à pied, quoi, mais c’est plutôt bien agréable …

VULCANO

…  sur la route du Stromboli (on l’aperçoit en arrivant dans le passage d’un demi mille entre Lipari et Vulcano)

Il y a des lieux, des gens, qui nous séduisent d’emblée. Pour d’autres c’est le contraire. Je me faisais une joie de randonner jusqu’au sommet du volcan. Quelque chose dans cette île ne m’a pas plu. Elle me rappelle comme dans certains archipels espagnols, que l’hospitalité, la curiosité pour l’étranger, l’échange, l’espace public … ont vécu; qu’il reste le business, la propriété privée, l’exploitation touristique, rent, lounges, resorts et autre ..

* .. musique internationale binaire pour les pieds.

Je n’irai pas là-haut, ça ne m’inspire pas, même pour dire que j’y suis allé, même pour ajouter une photo à ce blog …  mais je ne dis pas que j’aie raison.

Allez… trois photos d’en bas, bains de boue, people, et eaux chaudes jaillissant de la mer… (en Islande, je comprends; mais ici l’eau est déjà à 30°C …)

Les fumeroles sur le volcan

STROMBOLI:

Apercevoir le Stromboli, même de loin, c’est comme emprunter le détroit de Messine, entrer dans Syracuse, ou  voir l’Etna soudain émerger de sa brume: devant chaque lieu unique on est là, juste là, intensément là;  à la fois insignifiant,                       et comme transporté dans une sorte de réalité augmentée.

 

le Sromboli